Trois constats comme point de départ
L’énergie la moins polluante, c’est celle qu’on récupère
La quantité de chaleur perdue chaque année est estimée à 109,5 TWh par l'ADEME. Cela correspond aux consommations de près de 11 millions de logements. La récupération de cette énergie déjà produite apparait comme l’un des axes sur lesquels nous devons réaliser des améliorations.


La raison d’être d’un projet de récupération de chaleur, c’est l’existence d’un besoin à satisfaire
Toujours d’après l’ADEME, seulement 15% de cette énergie est située à proximité des villes déjà équipées d’un réseau de chaleur. Pour les industriels implantés en zone rurale, comment valoriser leur gisement de chaleur lorsque celui-ci ne répond à aucun besoin à proximité ?
Des porteurs de projets agricoles et aquacoles à la recherche d’une énergie propre et compétitive
La culture maraichère, l’aquaculture continentale, l’algoculture, sont des filières en plein développement et pour lesquelles l’énergie est un enjeu majeur. Le chauffage et la déshumidification peuvent peser jusqu’à 30% des charges annuelles. Au-delà de l’aspect économique, la pertinence et l’acceptabilité de tels projets reposent aussi sur le type d’énergie utilisé.
EXIT ENERGIE pour rapprocher les consommateurs des producteurs de chaleur fatale

Consommateur
S’implanter à proximité d’une source de chaleur fatale offre l’opportunité de profiter d’une énergie décarbonée et bon marché.
